Guide de translittération des prénoms Occidentaux en Arabe

Guide de l’écriture et de la prononciation des prénoms Occidentaux en Arabe

Présentation…

Comme vous l’avez appris sur la page des prénoms Occidentaux traduits en Arabe, les prénoms Occidentaux ne se traduisent pas, mais se translittère. C’est-à-dire qu’on leur applique une transcription phonétique en Arabe. De plus, l’Arabe ayant sa propre phonétique ( comme toutes langues ), il en résulte que l’écriture Arabe d’un prénom Occidental ne se prononcera pas comme dans sa langue d’origine. Allons plus loin encore : la transcription étant phonétique, la transcription ne sera pas la même selon que l’on transcrira un prénom sur la base initiale d’une langue ou d’une autre, puisque la transcription dépend de la prononciation d’origine. Vous allez ici, découvrir plus de détails. Et cela constituera également pour vous, une petite introduction ludique à la langue Arabe ( pour ceux et celles qui envisagent de faire ce pas ). Note : cette page s’applique au prénoms qui se translittèrent : mais certaines ne se translittère pas et on une orthographe issue d’autres sources. Si de plus, après avoir consulté cette page, ainsi que celle des prénoms Occidentaux traduits en Arabe, vous aviez des questions, alors n’hésitez pas à les poser.

Pourquoi les translittérations ?

En introduction de cette page, vous avez découvert ce qu’est une translittération : une transcription phonétique. Une question vient alors : avec les prénoms, pourquoi appliquer une translittération plutôt qu’une traduction ? La réponse à cette question est que les prénoms occidentaux n’ont pas de sémantique à proprement parlé. Les prénoms Arabes ont toujours une signification très exacte et concrète, ce qui fait que sur ce point la culture Arabe est très intéressante. Par exemple le prénom Arabe Karim, signifie généreux, tandis que conjointement le prénom Arabe Malika signifie la reine ( littéralement, le rois au féminin ). On peut bien sûre donner un sens aux prénoms Occidentaux, en se référant à leurs origines ou à leurs histoires, voir souvent en leur prêtant une caractérologie ( le plus souvent poétique, et très variable selon les sources ).

Cet aspect des prénoms Occidentaux ne prête pas le flanc à une traduction au sens conventionnelle du terme, pour plusieurs raisons. La première est le sens qui est attaché aux prénoms Occidentaux est souvent très verbeux, et tiens souvent en une plus ou moins longue histoire. Par exemple, si l’on entreprenait de traduire le prénom Jean en Arabe, il nous faudrait employer une formulation traduisant les anecdotes historiques ou les caractérologies communément associées à ce prénom. Ce ne serait pas praticable,… et la longueur de tel traduction serait telle qu’elle en rendrait jaloux même les anciens nom attributifs à rallonge, tels que ceux qui étaient en vogue au moyen-âge ( humour ). L’autre raison est que le « sens » donné au prénoms Occidentaux est très variable, et beaucoup de prénom Occidentaux n’ont d’ailleurs pas de signification courante. Ceci même pour les prénoms associés à un Saint Chrétien ( pour les prénoms originaires des civilisations d’origines Latines ), parce que le sens offert par ce Saint, n’est pas encore une signification sémantique.

Préalables à l’abord de la translittération

La question nous concernant sera donc celle de la correspondance des sons de ces prénoms avec les sons de la langue Arabe. En gardant bien à l’esprit que les son du prénom transcrit seront dépendant de la langue dans laquelle est prononcé le prénom d’origine. Par exemple, Angel ne se prononce pas de la même manière ne anglais et en français. Pour l’anecdote, il faut savoir que malgré des différences de prononciation, il arrive que les deux prononciation s’écrivent de la même manière en Arabe ( ce qui est la ces du prénom Angel, justement ). Ceci pour que vous compreniez bien pourquoi il est important d’être conscient que sur ces pages, les transcription sont faites pour la langue de la page correspondante ( ici le français,… une page en anglais est prévue à l’avenir ). Mais ne perdons pas de vue, que même en français, des prénoms dont l’origine anglophone est très prégnante, se prononce comme à l’anglaise ( la connaissance de ces prononciations n’étant maintenant plus réservée à une « élite » comme il y a 40 ans ).

Enfin, il arrive que certains prénom ne doivent pas être traduit selon les seuls indications de leurs phonétique. Plusieurs raisons peuvent le justifier, la plus courantes étant la production d’une confusion de prénom. Par exemple la translittération selon leur seul phonétique, pour les prénoms Valentin et Valentine, aboutirait à une écriture identique pour les deux prénoms. Ors l’un est un prénom féminin et l’autre un prénom masculin, et il on préférera les distinguer. D’autres règles subtile de ce genre viennent s’ajouter avec d’autres prénoms. Ceci fait comprendre qu’on transcrit un prénom à l’aide de sa phonétique, mais qu’on le traduit également au sein d’une « système de prénoms » ( pardonner le formalisme du terme ) avec lequel la transcription de ce prénom doit être en cohérence.

Toutes ces raisons ( règles parfois non-strictes ) font que le titre de cette page est attribué du mot « Guide » et non pas « Règles ».

À propos de la table des correspondances

Vous trouverez plus loin, la table des correspondances, des sons de la prononciation des prénoms Occidentaux dit en français, vers leurs transcription en Arabe. La transcription d’une voyelle différent toujours en début de mot du cas ou elle est en milieux ou fin de mot. Il arrive que l’équivalence de certains sons diffère également en fin de mot. Les variantes et leurs conditions d’occurrence seront chaque fois données,… ainsi que leurs justifications.

Remarques préalables sur la table des correspondances

Notez bien que cette page n’est pas le dictionnaire des prénoms Occidentaux en Arabe, qui se trouve ici : Les prénoms Occidentaux « traduits » et écrits en Arabe . La suite de cette page suppose un minimum de connaissances de l’alphabet Arabe. Les prononciations des phonèmes Arabes résultants des translittérations vers l’Arabe, sont brièvement rappelées dans ce tableau. Brièvement seulement, car ce n’est malheureusement pas le propos de cette page que d’être une guide complet de la prononciation de l’Arabe. Pour plus de détails sur, ou découvrir, la prononciation de l’Arabe, vous pourrez consulter cette page : L’alphabet Arabe et les bases de la prononciation . Les lettres Arabes changent de formes en fonction de leur position dans le mots, entre-autres règles. Là encore, pour apprendre à reconnaître et écrire les lettres de l’alphabet Arabe, la page précédemment citée fera votre bonheur.

À l’instant d’envisager un son au sein d’un prénom, il faudra tenir compte du fait que l’on a pas toujours la correspondance ( français-français ) « une lettre = un son ». Certains sons sont formés par un ensemble de deux lettres. Dans un tel cas, c’est la sonorité globale, constituée par ces deux lettres, qu’il faudra considérer.

Quelques lettres Latines voient leur prononciation varier selon leur contexte. C’est le cas notamment et par exemple de la lettre « C ».

La colonne « Son ou Consonne » s’appel ainsi, et non-pas « Voyelle ou Consonne », parce que par un exemple un son comme « AN » ou « EN » ( voir le précédent paragraphe ) n’est pas couramment qualifié de « consone ». Afin de ne pas polémiquer sur un détail de vocabulaire, nous parlerons donc de « sons ».

Les lettres muettes ne se translittèrent pas ; tout en ne perdant pas de vue que le caractère muet d’une lettre, pour celles qui peuvent l’être, dépend de son contexte.

Les voyelles Arabes employé pour les translittérations de prénoms, sont toujours des voyelles longues, sauf en début de prénom, et sauf usage de la ta-marbutah à la fin de certains prénoms féminins.

Ces remarques importantes étant faites, vous pouvez enfin et seulement maintenant lire la table des correspondances qui suit.

Correspondances des lettres et sons Arabes pour la transcription des prénoms Occidentaux

La table des correspondances est fournie par une série de fiches, dont le schéma est celui de celle qui suit.

  • Lettre ou son Occidental
  • Lettre(s) Arabe(s)
  • « Son(s) résultant(s) »
  • Commentaires et règles d’usages.
  • A
  • ا ou أ ou ة
  • « A » long ou bref ou légèrement expiré ( selon le cas — voir commentaires )
  • Cette correspondance ne s’applique pas si le « a » est suivi d’une voyelle nasalisée ( par exemple « an » ). Référez-vous pour cela à l’entrée correspondant à ce son. En milieux de prénom, on emploiera la alif ا ), qui se prononce comme un « a » long. En début de prénom seul le alif + hamza-majeure conviendra أ ), car l’Arabe n’autorise pas les voyelles longues en début de mot. Le alif + hamza-majeure se prononce comme un « a » bref. En fin de prénom, il faudra considérer deux cas. Si le prénom est féminin, ce sera une ta-marbutah, qui se prononce comme un « a » ni bref ni long, mais légèrement expiré, et qui est la marque du féminin la plus courante et la plus célèbre en Arabe. Si le prénom est masculin, on emploiera le alif, qui se prononce comme un « a » long. On ne pourra pas employé pour ce dernier cas, le alif-maqsura, car il renvoie fréquemment, en Arabe au genre féminin ( sans polémique ici sur cette question, car il s’agit de prénom, et pas d’autre chose ).
  • AN
  • ا ou ان ou أ
  • « A » long ou bref ou « AN » ( selon le cas — voir commentaires )
  • Lorsque ces deux lettres se prononce comme le son nasalisé de « partant », alors la transcription sera le alif. L’Arabe ne connaissant pas les sons nasalisés, il est impossible de lui trouver une correspondance exacte en Arabe. Celle-ci est la plus fidèle. Dans certains cas, ces deux lettres ce prononcent comme deux sons distincts, le plus fréquemment avec les prénoms d’origine anglophone. On prononce alors le son « n ». Dans ce cas, on notera la correspondance du son « n » en arabe, et on écrira donc ان, qui se prononce comme le an de l’article en anglais. Un exemple d’une telle distinction se trouve entre les deux prénoms Alexandre et Alexander. Dans le premier le « n » n’est pas prononcé, tandis qu’il l’est dans le second. En début de mot, on emploiera أ, suivit ou non d’un ن, pour la raison que l’Arabe n’autorise pas un prénom à commencer par une voyelle longue.
  • AU
  • و ou أُ
  • « OU » long ou bref
  • Ce son est le même que « O », et à ce dernier est substitué le son « OU ». Voir donc à l’entrée correspondante à « O ».
  • B
  • ب
  • « b »
  • ( pas de commentaires )
  • C
  • س ou ك
  • « S » ou « K » ( selon le cas — voir commentaires )
  • On emploiera س là où en français le « C » se prononce comme un « S » ( c’est-à-dire lorsque suivit de l’un de « e », « i » ou « oi », entre autres et pas seulement ). On emploiera ك là où en français le « C » se prononce comme un « K » ( c’est-à-dire lorsque suivit de l’un de « a », « o », « u », entre autres et pas seulement ). Attention à ne pas confondre avec « Ç » : voir à l’entrée correspondante.
  • Ç
  • س
  • « S »
  • Attention à ne pas confondre avec « C » : voir à l’entrée correspondante.
  • CH
  • ش ou ك ( selon le cas — voir commentaires )
  • « CH »
  • Employez ش quand « CH » se prononce comme dans « Chat ». Dans le cas ou ces deux lettres prenne la prononciation de « K », referez-vous à l’entrée correspondante à cette dernière.
  • D
  • د
  • « D »
  • ( pas de commentaires )
  • E
  • ( indéterminé )
  • ( indéterminé )
  • Cette lettre est de prononciation variable. Quand elle est muette, elle n’est bien évidement pas translittérée. Reportez vous à l’entrée correspondante pour le cas où elle se prononce comme un « É ». Ne se translittère pas quand il est muet.
  • É
  • ي ou إ
  • « i » long ou bref ( selon le cas — voir commentaires )
  • Le son « É » n’existant pas en Arabe, on lui substitue le son « Î ». Cette translittération à la particularité de fonctionner en sens inverse également : le son de la lettre est souvent translittéré par le son « É » pour les translittération Latines. Attention à ne pas confondre les sons « É » et « È ». Pour ce dernier, reportez vous à l’entrée correspondante. La translittération diffère selon que le phonème est en début de prénom ou pas. En début de prénom, il se translittérera إ, se prononçant comme un « i » bref. L’Arabe n’autorisant pas les voyelles longues en début de mot, il impose d’utiliser ce alif + hamza-mineure. Note : certaine région française prononce mal le « É ». Nous-nous référons ici à la prononciation officielle.
  • È
  • ا
  • « A » long
  • « É » et « È ». Pour ce dernier, reportez vous à l’entrée correspondante. Plus profond que le son « É » avec lequel il ne doit pas être confondu, il est mieux restitué par le alif que par le qui en est très éloigné. Note : certaine région française prononce mal le « È ». Nous-nous référons ici à la prononciation officielle.
  • EN
  • ا ou ان ou أ
  • « A » long ou bref ou « AN »
  • voir l’entrée de « AN » ( phonétique équivalente )
  • ER
  • ي ou ار
  • « i » long ou « aR » en roulant le « R » ( selon le cas — voir commentaires )
  • Lorsqu’il se prononce à la française, ce son correspond à « É », et se translittère de la même manière, par un ya ( voir aussi l’entrée correspondante à « É » ). À l’anglaise on le prononce comme « eur ». Le son Arabe le plus approchant de « eu » est celui du alif. Comme le « r » doit être prononcé, il faudra y ajouter la lettre . Un exemple d’une telle distinction se trouve entre les deux prénoms Alexander et Roger. Dans le premier le « er » se prononce « eur », tandis qu’il se prononce « é » dans le deuxième.
  • EY
  • ي
  • « i » long
  • voir à l’entrée correspondante à « É », le son étant le même.
  • F
  • ف
  • « F »
  • ( sans commentaires )
  • G
  • ع ou ج
  • « G » ou « dj » ( selon le cas — voir commentaires )
  • Tout comme avec le « C », la prononciation effective du « G » en français, varie en fonction de la lettre qui le suit. Quand il se prononce comme dans « gâteau », on le transcrira par ع, qui se prononce approximativement comme un « G », bien que différemment ( voir la leçon sur l’alphabet, citée en introduction de cette page ). Notez bien qu’il ne faut pas confondre la translittération Latin vers Arabe, avec la translittération Arabe vers Latin. En effet, avec cette dernière, la lettre غ est le plus souvent transcrite en « gh », comme ce fut le cas pour le mot Maghreb, désignant littéralement le Maroc. Ceci ne doit pas vous induire en erreur. Ce serait une grossière erreur que de confondre cette translittération avec celle qui nous intéresse ( qui va dans l’autre sens ). Sachez aussi que la lettre, bien qu’étrangement translittérée de cette manière vers l’alphabet Latin, ne produit rien qui ressemble au son « G » : elle correspond phonétiquement au « R » à la française ( à la manière Parisienne ) ! Cette erreur est malheureusement quelque peu fréquente sur le Web ( dut à des considérations trop hâtives ). Dans le cas où la prononciation effective du « G » est celle d’un « J », on le translittère avec la lettre ج, qui se prononce « DJ ».
  • H
  • ه ( ou autre si accompagnée — voir commentaires )
  • « H » expiré modérément
  • À une exception prêt, le plus souvent muette, cette lettre ne se translittère que lorsqu’elle se prononce à l’anglaise. L’exception est quand le « H » est en début de prénom, même s’il y est muet. En l’écrivant on altère donc un peu la prononciation. Mais il doit être écrit car il contribue fortement à la signature de ces prénoms. Ce cas est unique, car aucune autre lettre ne peut être muette en début de prénom, c’est ce caractère unique qui justifie de l’écrire, même si elle est muette, dans cette circonstance. Sans cela, le prénom pourrait être non-reconnaissable. Cette exception est clairement confirmée par les faits. Lorsqu’il est précédé d’un « C » ou d’un « S », reportez-vous à l’entrée correspondante à « CH ».
  • I ( pas L )
  • ي
  • « i » long
  • ( sans commentaires )
  • Ï (i-tréma)
  • ي
  • « i »
  • ( sans commentaires )
  • J
  • ج
  • « DJ » comme à l’anglaise
  • ( pas de commentaires )
  • K
  • ك
  • « K »
  • ( pas de commentaires )
  • L
  • ل ( ou autre si doublée — voir commentaires )
  • « L »
  • Dans le cas d’un double « L » ( « LL » ) se prononçant comme « W », reportez-vous à l’entrée correspondante à cette dernière.
  • M
  • م
  • « M »
  • ( sans commentaires )
  • N
  • ن
  • « N »
  • Prêtez attention aux cas ou il est constitutif d’un binôme formant un son plus complexe ( par exemple « an » ou « in » ).
  • O
  • و ou أُ
  • « OU » long ou bref
  • Le son « O » n’existe pas en Arabe ( en fait, si, mais selon l’accent ) et on lui substitue le son « OU ». Voir donc à l’entrée de « OU ».
  • OU
  • و ou أُ ( selon le cas — voir commentaires )
  • « OU » long ou bref
  • Même prononciation en Arabe qu’en français ( abstraction faite des accents locaux ). On emploie و, la forme longue en milieu de prénom. C’est أُ alif + hamza-majeur + damma ), la forme brève, qui doit être utilisée en début de prénom, l’Arabe n’autorisant pas l’usage de voyelles longues en début de mot. Ailleurs ( cas le plus courant ) c’est le و qui s’utilise.
  • P
  • ب
  • « B »
  • Pas d’équivalent du « P » en Arabe, « B » représente la plus fidèle restitution. Note : si ma mémoire est bonne, il est existe une lettre équivalente à « P » dans les extension de l’Arabe en Irak, mais cette lettre est rare et n’est dans aucun usage courant ( contrairement au va Maghrebin ).
  • PH
  • ف
  • « F »
  • ( sans commentaires )
  • Q ( pas O )
  • ك
  • « k »
  • ( sans commentaires )
  • QU ( pas OU )
  • ك
  • « k »
  • ( sans commentaires )
  • R
  • ر
  • « R » bien roulé du bout de la langue, comme à l’Espagnol
  • S’agissant de translittération, il est toléré que le « R » ne soit pas roulé… mais seulement pour les prénoms importés.
  • S
  • س ( ou autre si accompagnée — voir commentaires )
  • « s »
  • Ne se translittère pas quand il est muet ( comme dans Alexis ). Pour les cas ou le « S » se prononce comme « Z », reportez-vous à l’entrée correspondante à cette dernière.
  • SH
  • ش
  • « CH » ( comme dans « chat » )
  • voir l’entrée correspondante à « CH » ( phonétique identique ).
  • T
  • ت
  • « T »
  • ( sans commentaires )
  • TH
  • ت
  • « T »
  • ( sans commentaires )
  • U
  • و ou أُ
  • « OU » long ou bref
  • Le son « U » n’existe pas en Arabe ( en fait, si, mais selon l’accent ) et on lui substitue le son « OU ». Voir donc à l’entrée de « OU ».
  • V
  • ڤ
  • « V » comme en français
  • Cette lettre est particulière, et n’existe pas en Arabe classique. Elle existe dans les pays du Maghreb ( nord de l’Afrique ). L’Arabe de ces régions fut étendu pour y introduire cette lettre, précisément dans le but de pouvoir « importer » certains mots Occidentaux, comme « vitamine » Si vous ne la voyez pas s’afficher convenablement sur votre écran, vous pouvez savoir qu’elle s’écrit comme une lettre fa, mais avec trois points sur le dessus, au lieu d’un seul.
  • W
  • و
  • « W » comme dans Waterloo
  • Vous esprits curieux aura peut-être remarqué que cette même lettre est pourtant également employé pour translittéré le son « OU ». Ne vous étonnez pas : cette lettre peut fonctionner comme une voyelle ou une consonne, selon le contexte. Elle se prononce comme une consonne lorsqu’elle est suivie d’une voyelle.
  • X
  • كس
  • « KS » (  « K » + « S »  )
  • Il n’y a pas d’équivalent Arabe de cette lettre. Mais on peut la simuler en français avec les deux lettres « k » et « s ». Ors ces deux lettres ont chacune leur correspondance en Arabe.
  • Y
  • ي
  • « Y », comme en français
  • Même translittération pour le cas ou elle est une voyelle que pour le cas ou elle est une consonne. En tant que consonne, elle se prononce « î », un « i » long.
  • Z
  • ز
  • « z », comme en français
  • ( pas de commentaires )